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fiche de réponse #001 (ronds | 4 versions) ❧ 2981 12289 0

Mer 3 Avr 2019 - 1:14
Anonymous
Invité
Invité
Bonjour tout le monde !
Voici une fiche de réponse qui existe en quatre versions et qui possède une fiche de liens & rp assortie !
❧ Vous pouvez changer les couleurs, polices et images
❧ Merci de laisser les crédits à leur place et tels qu'ils sont
❧ Un petit message à la suite et le code apparaîtra

FICHE DE REPONSE ❧ DEUX IMAGES :

Welcome to the nightmare in my head, say hello to something scary, the monster in your bedIn the daylight, I’m your sweetheart, Your goody-two-shoes prude is a work of art. But you don’t know me, And soon you won’t forget, Bad as can be, yeah you know I’m not so innocent. Better beware I go bump in the night, Devil-may-care with a lust for life, And I know you, Can’t resist this You know you Are so addicted. Boy you better run for your life ! ( Halestorm → Mz Hyde )Quand j'étais gosse, j'étais déjà bien moche. J'avais déjà ma sale gueule qui ne me revient pas. A peu près autant qu'elle revient à personne. J'me souviens bien qu'il y avait pas une seule bonne âme pour pouvoir m'encadrer. J'étais sale et mal élevé. J'étais un de ces mioches niqués d'la tête du genre de ceux qui t'font marmonner dans ta barbe au supermarché, à la boulangerie, dans la rue. A peu près n'importe où ailleurs aussi. J'étais turbulent et violent. J'étais provoquant et insolant. T'avais juste un mot à dire pour que j'te crache à la gueule. Ou sur le bide plutôt, vu la taille que j'faisais. Quand j'étais gamin j'avais les cheveux longs, jusqu'aux fesses et tellement dégueulasses qu'ils étaient lisses. Tu trouves vraiment que j'ai une gueule à me foutre des bigoudis ? Non. Donc on est d'accord, c'était pas naturel.

J'espère pour toi qu't'étais pas en train de bouffer. Sinon c'est ballot.

T'sais, j'avais pas d'amis, pas d'goûter, pas d'jouets pis les teubées de maîtresses s'étonnaient que je raquette les autres à la récré. Sérieux ? Comment on peut s'étonner qu'un chien galeux vole quand il passe ses journées à être nargué par les autres ? T'sais, les autres, ceux qu'aiment pas les bâtards ni les fils de pute. Les autres, qui ont des vieux « braves et respectables » qui leur ont appris que les plus pauvres, les moins aidés, ne sont que des merdes et encore moins que ça. Putain de bourges. L'enfant a toujours la même valeur que ses parents, hein. Peu importe si c'est pas sa faute s'il est né dans une famille de tarés. Bordel. S't'avais vu la gueule des mamans, les jolies, les vraies mamans qui sentent bon, quand elles voyaient la pute qui était la mienne venir me chercher avec ses quelques centimètres carrés de tissus sur le cul et les seins, ses faux cils de pouffiasse et son affreux rouge à lèvres rose bonbon. C'te connasse qui regardait tout le monde de haut comme si elle était la reine - la reine des poules, peut-être - et qui, la nuit, était contrainte de faire les poubelles pour nourrir son empaffé de mari et son crétin de môme. Même moi j'pouvais pas la saquer ma mère, t'sais. C'est fou comme elle me faisait honte. Comme quand elle se ramenait, j'avais juste envie de creuser et de m'enterrer.

Elle était bizarre ma mère.
Elle était cinglée, ma geôlière.
©️ 2981 12289 0

FICHE DE REPONSE ❧ TROIS IMAGES :

I've come so far to meet you here, to share this life with one I hold so dearThe sun came out and brought you through. A lifetime full of words to say, a hope that time will slow the passing day. I've been wrong times over, and I've been shamed with no words to find. But if the sun will rise, bring us tomorrow, walk with me, crimson day. ( Avenged Sevenfold → Crimson Day )Quand j'étais gosse, j'étais déjà bien moche. J'avais déjà ma sale gueule qui ne me revient pas. A peu près autant qu'elle revient à personne. J'me souviens bien qu'il y avait pas une seule bonne âme pour pouvoir m'encadrer. J'étais sale et mal élevé. J'étais un de ces mioches niqués d'la tête du genre de ceux qui t'font marmonner dans ta barbe au supermarché, à la boulangerie, dans la rue. A peu près n'importe où ailleurs aussi. J'étais turbulent et violent. J'étais provoquant et insolant. T'avais juste un mot à dire pour que j'te crache à la gueule. Ou sur le bide plutôt, vu la taille que j'faisais. Quand j'étais gamin j'avais les cheveux longs, jusqu'aux fesses et tellement dégueulasses qu'ils étaient lisses. Tu trouves vraiment que j'ai une gueule à me foutre des bigoudis ? Non. Donc on est d'accord, c'était pas naturel.

J'espère pour toi qu't'étais pas en train de bouffer. Sinon c'est ballot.

T'sais, j'avais pas d'amis, pas d'goûter, pas d'jouets pis les teubées de maîtresses s'étonnaient que je raquette les autres à la récré. Sérieux ? Comment on peut s'étonner qu'un chien galeux vole quand il passe ses journées à être nargué par les autres ? T'sais, les autres, ceux qu'aiment pas les bâtards ni les fils de pute. Les autres, qui ont des vieux « braves et respectables » qui leur ont appris que les plus pauvres, les moins aidés, ne sont que des merdes et encore moins que ça. Putain de bourges. L'enfant a toujours la même valeur que ses parents, hein. Peu importe si c'est pas sa faute s'il est né dans une famille de tarés. Bordel. S't'avais vu la gueule des mamans, les jolies, les vraies mamans qui sentent bon, quand elles voyaient la pute qui était la mienne venir me chercher avec ses quelques centimètres carrés de tissus sur le cul et les seins, ses faux cils de pouffiasse et son affreux rouge à lèvres rose bonbon. C'te connasse qui regardait tout le monde de haut comme si elle était la reine - la reine des poules, peut-être - et qui, la nuit, était contrainte de faire les poubelles pour nourrir son empaffé de mari et son crétin de môme. Même moi j'pouvais pas la saquer ma mère, t'sais. C'est fou comme elle me faisait honte. Comme quand elle se ramenait, j'avais juste envie de creuser et de m'enterrer.

Elle était bizarre ma mère.
Elle était cinglée, ma geôlière.
©️ 2981 12289 0

FICHE DE REPONSE ❧ UNE IMAGE + UNE VIDEO :

Welcome to the prideI will not be forgotten this is my time to shine. I've got the scars to prove it, only the strong survive. I'm not afraid of dying, everyone has their time. Life never favored weakness, welcome to the pride.Quand j'étais gosse, j'étais déjà bien moche. J'avais déjà ma sale gueule qui ne me revient pas. A peu près autant qu'elle revient à personne. J'me souviens bien qu'il y avait pas une seule bonne âme pour pouvoir m'encadrer. J'étais sale et mal élevé. J'étais un de ces mioches niqués d'la tête du genre de ceux qui t'font marmonner dans ta barbe au supermarché, à la boulangerie, dans la rue. A peu près n'importe où ailleurs aussi. J'étais turbulent et violent. J'étais provoquant et insolant. T'avais juste un mot à dire pour que j'te crache à la gueule. Ou sur le bide plutôt, vu la taille que j'faisais. Quand j'étais gamin j'avais les cheveux longs, jusqu'aux fesses et tellement dégueulasses qu'ils étaient lisses. Tu trouves vraiment que j'ai une gueule à me foutre des bigoudis ? Non. Donc on est d'accord, c'était pas naturel.

J'espère pour toi qu't'étais pas en train de bouffer. Sinon c'est ballot.

T'sais, j'avais pas d'amis, pas d'goûter, pas d'jouets pis les teubées de maîtresses s'étonnaient que je raquette les autres à la récré. Sérieux ? Comment on peut s'étonner qu'un chien galeux vole quand il passe ses journées à être nargué par les autres ? T'sais, les autres, ceux qu'aiment pas les bâtards ni les fils de pute. Les autres, qui ont des vieux « braves et respectables » qui leur ont appris que les plus pauvres, les moins aidés, ne sont que des merdes et encore moins que ça. Putain de bourges. L'enfant a toujours la même valeur que ses parents, hein. Peu importe si c'est pas sa faute s'il est né dans une famille de tarés. Bordel. S't'avais vu la gueule des mamans, les jolies, les vraies mamans qui sentent bon, quand elles voyaient la pute qui était la mienne venir me chercher avec ses quelques centimètres carrés de tissus sur le cul et les seins, ses faux cils de pouffiasse et son affreux rouge à lèvres rose bonbon. C'te connasse qui regardait tout le monde de haut comme si elle était la reine - la reine des poules, peut-être - et qui, la nuit, était contrainte de faire les poubelles pour nourrir son empaffé de mari et son crétin de môme. Même moi j'pouvais pas la saquer ma mère, t'sais. C'est fou comme elle me faisait honte. Comme quand elle se ramenait, j'avais juste envie de creuser et de m'enterrer.

Elle était bizarre ma mère.
Elle était cinglée, ma geôlière.
©️ 2981 12289 0

FICHE DE REPONSE ❧ DEUX IMAGES ¨+ UNE VIDEO :

Getting away, getting away, getting awaySomewhere beyond happiness and sadness I need to calculate what creates my own madness. And I'm addicted to your punishment, and you're the master, and I am waiting for disaster. I feel irrational, so confrontational, to tell the truth I am getting away with murder. It isn't possible, to never tell the truth but the reality is I'm getting away with murder.
Quand j'étais gosse, j'étais déjà bien moche. J'avais déjà ma sale gueule qui ne me revient pas. A peu près autant qu'elle revient à personne. J'me souviens bien qu'il y avait pas une seule bonne âme pour pouvoir m'encadrer. J'étais sale et mal élevé. J'étais un de ces mioches niqués d'la tête du genre de ceux qui t'font marmonner dans ta barbe au supermarché, à la boulangerie, dans la rue. A peu près n'importe où ailleurs aussi. J'étais turbulent et violent. J'étais provoquant et insolant. T'avais juste un mot à dire pour que j'te crache à la gueule. Ou sur le bide plutôt, vu la taille que j'faisais. Quand j'étais gamin j'avais les cheveux longs, jusqu'aux fesses et tellement dégueulasses qu'ils étaient lisses. Tu trouves vraiment que j'ai une gueule à me foutre des bigoudis ? Non. Donc on est d'accord, c'était pas naturel.

J'espère pour toi qu't'étais pas en train de bouffer. Sinon c'est ballot.

T'sais, j'avais pas d'amis, pas d'goûter, pas d'jouets pis les teubées de maîtresses s'étonnaient que je raquette les autres à la récré. Sérieux ? Comment on peut s'étonner qu'un chien galeux vole quand il passe ses journées à être nargué par les autres ? T'sais, les autres, ceux qu'aiment pas les bâtards ni les fils de pute. Les autres, qui ont des vieux « braves et respectables » qui leur ont appris que les plus pauvres, les moins aidés, ne sont que des merdes et encore moins que ça. Putain de bourges. L'enfant a toujours la même valeur que ses parents, hein. Peu importe si c'est pas sa faute s'il est né dans une famille de tarés. Bordel. S't'avais vu la gueule des mamans, les jolies, les vraies mamans qui sentent bon, quand elles voyaient la pute qui était la mienne venir me chercher avec ses quelques centimètres carrés de tissus sur le cul et les seins, ses faux cils de pouffiasse et son affreux rouge à lèvres rose bonbon. C'te connasse qui regardait tout le monde de haut comme si elle était la reine - la reine des poules, peut-être - et qui, la nuit, était contrainte de faire les poubelles pour nourrir son empaffé de mari et son crétin de môme. Même moi j'pouvais pas la saquer ma mère, t'sais. C'est fou comme elle me faisait honte. Comme quand elle se ramenait, j'avais juste envie de creuser et de m'enterrer.

Elle était bizarre ma mère.
Elle était cinglée, ma geôlière.
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